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La Tour Blanche (24) - Conférence - De Gaulle et le Périgord - Lundi 13 septembre 2021

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Lundi 13 septembre 2O21 à 2Oh 3O 

Salle polyvalente 

La Tour Blanche (24)

Conférence par Bernard Lachaise



« De Gaulle et le Périgord »

Le Périgord fut, d’abord, pour Charles de Gaulle un lieu de vacances familiales dans la propriété achetée par ses parents, la Ligerie à Champagne-et-Fontaine, au début du XXe siècle. Le jeune de Gaulle – 15 ans - évoque, dans un de ses premiers textes connus, une imaginaire « bataille de Verteillac » !

Plus tard, durant la Seconde Guerre mondiale, le Périgord fut une terre de résistance qui, comme le général de Gaulle, refusa la défaite de la France. Des Périgourdins figurent parmi les Français libres ayant rejoint celui qui a lancé l’appel du 18 juin. À la Libération, de Gaulle se rendit en Dordogne en 1945. Et le hasard voulut que l’ancienne demeure de la famille de Gaulle, la Ligerie, était devenue la propriété de celle de Jacques Chaban-Delmas, jeune général, Compagnon de la Libération…

Après la Seconde Guerre mondiale, quand de Gaulle entra en politique, en 1947 dans l’opposition puis exerce le pouvoir à partir de 1958, le Périgord fut une terre où il se rendit à de nombreuses reprises mais qui ne lui fut guère favorable, malgré d’éminents soutiens dont, bien sûr, à partir de 1962, Yves Guéna.

Enfin, le Périgord garde la mémoire du général de Gaulle à travers les voies qui portent son nom, dans les villes comme parfois dans les petits villages.

Organisé par le club Histoire Mémoire et Patrimoine de La Tour Blanche et des environs


Documents sur la Libération de Foix (Ariège)

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Rédigé par Alan

L'année dernière j'ai parlé d'un roman biographique écrit par Brigette Gisquet intitulé 'La guerre à travers mes yeux d'enfant', Où elle retranscrit les souvenirs et les mots de son père Paul Gisquet, ainsi que ceux de sa grand-mère, durant la Seconde Guerre mondiale. 

Tous nos remerciements à Brigitte pour avoir eu la gentillesse de partager encore de photos et documents concernant son père.



Douanes Militaires



La guerre à travers mes yeux d'enfant par Brigitte Gisquet - Une histoire vraie : Lien

Article de presse sur la Libération de Foix (Ariège) le 19 août 1944 : Lien

2021 : Cérémonies commémoratives de l'Armistice du 11 Novembre 1918 - Charente Maritime

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Le jeudi 11 novembre 2O21 


Médis

9h - Cérémonie officielle au Monuments aux Morts

   - dépôt de gerbes

   - vin d'honneur dans la salle du conseil de la Marie


St. Georges de Didonne

9h - Rassemblement devant l'Hôtel de Ville

9h 15 - Cérémonie au Carré Militaire du Cimetière de Bois

9h 3O - Cérémonie au Monuments aux Morts - Boulevard de la Côté de Beauté


Vaux-sur-Mer

9h 3O - Place François Convier

Départ du défilé pour l'inauguration des plaques commémoratives du square de la Paix et pour la cérémonie commémorative de l'Armistice de 1918 au Monuments aux Morts


Royan

1Oh - cérémonie à la stèle du Père Brottier et de Georges Clemenceau (boulevard Georges Clemenceau)

11h - cérémonie au Monuments aux Morts (Place Foch)


Thiviers - Jeudi 11 novembre 2021 - Inauguration de la plaque commémorative en mémoire de la Brigade Rac

Photos et discours de l'inauguration d'une plaque en mémoire de la brigade RAC - Thiviers le 11 novembre 2021

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Thiviers le 11 novembre 2O21

Les petites filles
Justine - Rodolphe Cézard 'RAC'
Marie Andrée - Georges Lautrette 'RIC'

Inauguration d'une plaque commémorative en mémoire de la brigade RAC





Discours :

Mme le maire
Mesdames et messieurs,
Merci pour votre invitation au Mémorial de la brigade RAC, pour l’inauguration de la plaque.
Je suis la fille du Colonel RAC et je suis aussi la fille du résistant.

Alors, madame le Maire, j’aimerais partager cette cérémonie avec les enfants, petits enfants, neveux des familles qui ont participé à la victoire de 1944/45.
Si vous me le permettez, je vais les appeler pour être avec nous à cette plaque.

Les fils:
Geoffroy TENANT de la TOUR fils de Philippe TENANT la TOUR alias Marie-Antoinette Lieutenant au 3 éme bataillon.
Michel GABORIT, son père était le chauffeur de mon père et de moi en 45.

Les petits-enfants :
Jean LASTERRE, sa grand mère avait un café restaurant à St SAUD, où mon père avait son PC.
Pierre-Yves COUTURIER, son grand-père Pierrot COUTURIER, était le premier porte drapeau de la brigade RAC.
Marie-Andrée NICOLAS, petite fille de RIC qui nous a hébergés en arrivant en 42 à Thiviers.
Justine, petite fille du colonel RAC et ma fille.

Les neveux:
Georges LAUTRETTE, fils de Félix LAUTRETTE, frère de RIC.
Gilles EVEN porte drapeau de la brigade RAC à Thiviers. Son oncle, le Caporal ROBICHON, était le secrétaire du colonel RAC, et surtout ma nounou, pendant la guerre.

Merci madame le Maire, mon père et ses soldats ont retrouvé votre ville et aussi leur point de départ.


MarieCérémonie du 11 novembre au monument aux morts pour la France.

Photos des cérémonies à Thiviers le 11 novembre 2021

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 Thiviers le 11 novembre 2O21

A la mémoire des victimes de l’explosion de gaz du 11 novembre 1971. Inauguration d’une plaque commémorative sur le mur de l’ancienne armurerie

Cérémonie du 11 novembre au monument aux morts pour la France



L'Association - La mémoire de nos Pères (lien)

Royan - Frankton Souvenir le mardi 07 décembre 2021

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 FRANKTON SOUVENIR

le mardi O7 décembre 2O21

11h : dépôt de gerbes à la stèle Frankton
Point du Chay - chemin piétonnier de la corniche du Chay
Royan

Un vin d'Honneur sera servi à l'issue de la cérémonie au Garden Tennis




Chemins de mémoire de l’opération Frankton (lien)

Royan - Oeuvre Mémorielle pour honorer les morts des bombardements des 5 janvier et 15 avril 1945

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La Ville de Royan a décidé d'édifier une oeuvre mémorielle pour honorer les morts des bombardements des 5 janvier et 15 avril 1945. 

Afin de compléter le financement public, le Conseil Municipal lance une souscription collective et édite un livret explicatif dont vous trouverez de larges extraits en pièce jointe.

En tant qu'association patriotique participant activement aux diverses cérémonies commémoratives, l'association Brigade RAC - 5O ème RI soutient ce projet.


















Royan - Realisation of memorial to those killed during bombing raids January 1945

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The town of Royan is planning to create a memorial to remember those who lost their lives from the bombing raids of 5th January and 15th January 1945.

To be able to create the memorial the Mayor's office is launching an appeal for private and public funding which will accompany civic funding already in place. To publicise the appeal the Mayor's office has published a booklet that talks of the project and equally the history. Extracts can be found below.

As well as patriotic and historical associations supporting the project the Association Brigade RAC / 5Oème RI will be supporting the project.




















Il y a 78 ans - En souvenir des bombardiers abattus le 31 décembre 1943 dans les Charentes

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 Rédigé par Alan dans la rubrique Les Alliés



8ème U.S. Air Force : Mission n° 171

Elle avait pour but la destruction d’aérodromes à Châteaubernard près de Cognac (Charente) et à Bordeaux-Mérignac (Gironde)

Cette mission du 31 décembre 1943 qui regroupait 447 avions ne fut pas comme on l'espérait « la tournée du laitier » car les conditions météo étaient très dégradées et 23 appareils furent perdus, tombant en territoire français ou en mer. Huit entre eux sont tombés en Charentes, deux autres à la limite territoriale des départements voisins, Gironde et Deux-Sèvres. 231 aviateurs ne rentrèrent pas ce jour-là, nombreux furent tués, d'autres prisonniers et quelques-uns réussirent à regagner l'Angleterre grâce à l'aide de la résistance. 


Un Liberator B-24 du 8ème USAAF basé à Wendling dans le Norfolk au cours de cette mission est attaqué par des chasseurs allemands et tombé près de Montlieu-la-Garde en Charente Maritime. L'explosion de l'avion a lieu en plein vol et huit des dix membres de l'équipage ont péri, l'autre deux ont été pu sauter à temps en parachute. L'un des parachutistes a été mitraillé et tué par un chasseur allemand durant sa descente et l'autre S/Sgt Anthony F. Malavasic atterrissent au sud du hameau de « Chez Guérin », commune de Montlieu-la-Garde. Mitraillé durant sa descente il est rapidement fait prisonnier par les allemands.

31 décembre 2OO3 - 6Oème anniversaire au monument de Montlieu-la-Garde
De gauche à droite : 
Herbert Brill (Navigateur du B-17 tombé à Expiremont le 31 décembre 1943), Norbert Lorentz (Navigateur du B-17 tombé à Corme Royal le 31 décembre 1943), Coleman Goldstein (Pilote du B-17 tombé à Expiremont)           (Photo Bernard Ballanger)

L'histoire du lt Herbert Brill et du sgt William Weber

L'un des appareils a fait un atterrissage forcé près de Jauriac dans la commune d'Expiremont en Charente-Maritime. Les dix membres d'équipage sont tous restés à bord durant la manoeuvre d'atterrissage,  sains et saufs. Les aviateurs se sont ensuite dispersés dans la campagne, deux par deux, trouvant des patriotes français pour les secourir. Six membres d'équipage ont réussi leur évasion mais les quatre autres étant faits prisonniers.
Herbert Brill et William Weber ont fait leur évasion à travers la campagne charentaise vers le sud d'Angoulême où ils ont trouvé le maquis cantonné aux bois abords de Grassac, petite ville charentaise.
Voici un extrait du chapitre Arrivée de deux Américains : 2 janvier 1944 du journal de la Section Spéciale de Sabotage de Marc Leproux imprimé en 1947.
Mmes Fléchier et Kagan, institutrices à Grassac, nous font savoir que deux Américains de passage à Grassac sont actuellement hébergés chez Mr Mappas. Rendez-vous est pris pour l'après-midi, par Jean-Louis (René Chabasse) de passage au refuge. Nous trouvons, à l'heure fixée,  nos deux Yankees l'air plutôt effrayé en nous voyant. Ils sont très jeunes (environ 2O ans) mais très sympathiques. Ils portent des vêtements civiles prêtes par M. Mappas. A travers le bois, nous rejoignons le « Ranch » où Mitchell (Michael McPartland, un anglais également hébergé par le maquis) nous attend. Rassemblant tous nos souvenirs d'écoliers,  nous les interrogeons.  Il s' agit du Lieutenant navigateur Herbert Brill, originaire de New-York et du Sergent Bill Weber, mécanicien à Louisville ; tous les deux faisaient partie de l'équipage d'une forteresse volante ayant fait un atterrissage forcé dans le sud de la Charente-Maritime au retour d'un bombardement sur Bordeaux. Le « Ranch » s'anime et on ne s'y ennuie plus ; il est internationalisé.
Herbert Brill et William Weber sont restés quelques semaines avec le maquis charentais et ils ont fait partie avec plusieurs parachutages et des transports d'armes. Plus tard Les américains ont été hébergé par les familles Duruisseau, Villard, Reytier, Lasret. Alors que William Weber décide de rester à la ferme de la famille Lasret, en juin Herbert Brill part avec les hommes de la Section Spéciale de Sabotage de Jacques Nancy a établi son nouveau camp près de Chadeau, un village au nord de Nontron en Dordogne.
Herbert Brill a participé avec des sabotages et des combats, notamment le 24 juillet 1944 à Javerlhac avec la brigade Rac. Cinq semaines plus tard, le 31 août, Herbert Brill et ses camarades participent à la libération d'Angoulême.
Le 4 septembre, sur un terrain d'aviation improvisé aux environs de Limoges, Herbert Brill, William Weber et une quarantaine d'autres aviateurs alliés récupérés dans les prisons d'Angoulême et dans plusieurs maquis montent à bord de deux dakotas pour être ramenés en Angleterre.


Edmond Duruisseau (assis) avec ses camarades de la Section Spéciale de Sabotage.
A son gauche Herbert Brill et derrière eux Andrée Gros-Duruisseau      
(Photo - famille Brill - prise en 2OO5)

A l'heure de la retraite, Herbert Brill n'a qu'une seul id
ée - revenir en France. Avec son épouse Millicent, il acheté une maison à Nontron profitant du séjour pour rencontrer ses amis de la Résistance, participer aux cérémonies commémoratives des combats de Javerlhac et d'Angoulême.


Herbert Brill : Remise de la Légion d'Honneur - Grassac le 16 juillet 2OO5 (lien)


L'histoire du lt Robert Wilcox

L'un des aviateurs américains Lt Robert Wilcox a sauté de son avion et fait la rencontre, en pleine nuit d'un jeune homme, Frédéric Nadeau, qui le prend sous sa protection et l'amène au domicile de ses parents à Saint-Simon-de-Pelouaille, près de Gémozac. Robert Wilcox rester et vivre chez ces agriculteurs, cachés dans leur maison durant huit mois jusqu'à libération de Gémozac le 9 septembre 1944.


Edouard et Léona Nadeau avec Robert Wilcox en 1977

Le 19 décembre 2O15 le petit village de Saint-Simon-de-Pellouaille (15 km au sud de Saintes) a honoré la mémoire de la famille Nadeau qui avait hébergé l'aviateur am
éricain.


Hommage à la famille Nadeau : photos de la cérémonie du 19 décembre 2O15 à Saint-Simon-de-Pellouaille (lien)

Robert « Peck » Wilcox : un aviateur américain tombé du ciel le 31 décembre 1943 (article en anglais) (lien)


L'histoire du lt James Taylor et du cpt Edward Boykin

Edward Boykin Jr  jeune cadet 
(élève pilote à Maxwel Field en 1941)
Une forteresse volante du 351ème BG USAAF basée à Polebrook s'est écrasée le 31 décembre 1943 au nord de l'aérodrome de Médis. Les onze aviateurs ont pu sauter en parachute sauf deux d'entre eux, James Taylor et Edward Boykin, blessés par des éclats d'obus et restés à bord. Ceux deux hommes sont morts dans le crash de leur appareil ainsi que John Blaylock dont le parachute ne s'est pas ouvert. Les huit autres membres d'équipage été faits prisonniers. Le capitaine Edward Boykin a été enterré 
provisoirement au cimetière de Royan.

En 1997, la municipalité de Médis a décidé d'honorer la mémoire du capitaine Edward Boykin, mort en mission près du terrain d'aviation, en donnant son nom à une nouvelle rue du hameau de Brie. La cérémonie est organisée en relation avec l'Amicale de la brigade Rac de la Charente-Maritime qui le même jour doit commémorer les soldats tombés devant Brie. La cérémonie d'inauguration a eu lieu le 3O avril 1997 en présence du frère de la victime et de sa famille.

Hommage au capitaine Edward Boykin - Brie, Charente-Maritime (lien)


L'histoire de Roger Ladépêche
Roger Ladépêche

Onze aviateurs américains transiterons dans les locaux du docteur Cabanes, médecin généraliste de Saint-André de Cubzac, Gironde. (Le docteur Cabanes sera arrêté le 17 avril 1944 et déporté au camp de Neuengamme). Une liste des noms et des adresses a été établie par Roger Ladépêche, fervent résistant qui s'avère précieux dans le transport des évadés. On y retrouve les deux fugutifs américains du B-17 qui a fait un atterrissage forcé le 31 décembre 1943 à Experimont (17), Lt Coleman Goldstein et Sgt George Jasman hébergés par la famille Lhermitte, de Polignac, mais aussi deux autres membres du même équipage, Owen Scott et Shirley Casey, ayant réussi leur évasion.

Trois autres Américains proviennent de deux bombardiers abattus également le 31 décembre 1943 ; à Gimeux d'une part : Edward Knapp et Daniel Norton qui sera fait prisonnier plus tard ; à Marcillac d'autre part : Richard Wilson, également capturé par la suite. Les quatre derniers ont été recueillis après le bombardement du terrain d'aviation de Bordeaux-Merignac effectué le 5 janvier 1944. Ce sont Harold Lockwood, Robert Martin, Georges Bertholdt du B.17F 42-3O444, et Meredith Rueff pilote du B.17G 42-377O8, tombés tous deux en bordure du lac d'Hourtin, 
Gironde.

Au-delà de Saint-André-de-Cubzac, la chaîne d'évasion va fonctionner. Roger Ladépêche fait partie du groupe de résistants de Saint-Yzan-de-Soudiac, près de Saint-Mariens. Il est aussi chef de dépôt de la compagnie "Citram" de Saint-Mariens. Il dispose de véhicules qui lui permettent de faire les transports d'armes parachutées et la diffusion de journaux clandestins.

C'est ainsi que le 8 janvier il va assurer le transfert par autobus des onze aviateurs américains recueillis par le docteur Cabanes. Il est probable que le maquis de Mussidan n'a pas pu admettre dans son groupe la totalité des nombreux arrivants. Les aviateurs seront dispersés dans des familles amies comme en témoigne Jacqueline Gaussens, dont les parents, à Saint-Antoine-de-Breuil, en Dordogne, ont hébergé Coleman, Goldstein et Shirley Casey pendant un mois environ. Par la suite, d'autres filières d'évasion prennent en charge tous ces Américains, séparément ou par petits groupes, les acheminant jusqu'à la frontière espagnole.

(Tiré de l'ouvrage de Christian Genet, Jacques Leroux et Bernard Ballanger « Les deux Charentes sous les bombes 194O-1945 », où il y a un chapitre dédié au dix bombardiers du 8ème USAAF abattus le 31 décembre 1943 dans le sud-ouest).

L'histoire de Roger Ladépêche qui a aidé plusieurs aviateurs américains au cours de leur évasions (lien)


L'histoire du sgt Alex Dominski

L’un des appareils de l'USAAF touché par la défense antiaérienne allemande dut procéder à un atterrissage d’urgence dans le sud des Deux-Sèvres, près du village de La Bataille. Les dix membres d’équipage survécurent et après avoir détruit leur appareil se séparèrent pour tenter d’échapper aux recherches des troupes allemandes. Le sergent Alex J. Dominski, mitrailleur de la tourelle ventrale, parti seul de son côté fut repéré dans un bois près de Couture d’Argenson (Deux-Sèvres) et caché par des agriculteurs locaux. 

Dès le 2 janvier, il fut conduit à Saint Claud (Charente) dans une ferme (chez Mr. Marcel Petit) où il retrouva deux autres aviateurs. La présence dans ces communes du nord Charente d’un maquis de l’Armée secrète, fit que quatre aviateurs du même équipage dont Alex Dominski (sgt Richard Frievalt, sgt Michael Cahill et sgt Clarence Muntzinger), furent conduits autour du 2O janvier 1944 sous la protection de ce maquis. Le 5 février 1944, le colonel Bonnier, délégué militaire régional vint organiser le maquis et lui donna le nom de Bir Hacheim. Les aviateurs américains intégrés au groupe en suivirent les différents mouvements au village de Négret (Saint Claud, Charente) puis à la ferme d’Endourchapt (Saint Laurent de Céris, Charente). Dans la matinée du 22 mars 1944, les troupes de la Wehrmacht accompagnées des services de la SAP (section des Affaires politiques) de Poitiers encerclèrent la grange d’Endourchapt située à Saint-Laurent-de-Céris (Charente) où le groupe avait installé son campement. Alex Dominski et André Potevin furent blessés dans le combat en tentant d’échapper aux troupes allemandes. 


Fin janvier / debut février 1944
En bas, accroupi en partant de la gauche :
Michael Cahill, Alex Dominsky, Richard Frievalt (avec drapeau) et Clarence Muntzinger

D’après le témoignage ultérieur d’un de ses compatriotes américains, Alex Dominski fut blessé de deux balles dans sa tentative d’échapper aux troupes allemandes et achevé d’une balle derrière l’oreille. De la même manière, le témoignage du père d’André Potevin recueilli en juin 1945 pour le dossier DAVCC indique : « d’après le récit fait par deux jeunes gens arrêtés ce même jour et qui ont eu la chance d’être relâchés un mois après, les deux blessés auraient été achevés d’un coup de revolver dans la tête avant d’être emmenés à Poitiers avec les 33 prisonniers ». Les deux corps furent transportés à la prison de la Pierre Levée à Poitiers (Vienne) en même temps que les trente-trois maquisards capturés, et fusillés le 8 mai 1944 au champ de tir de Biard près de Poitiers (Vienne).


Le monument de Saint-Laurent-de-Céris à Endourchapt surmonté des drapeaux américain, polonais et français et érigé en hommage à ces 37 jeunes assassinés par les Allemands

Alex Dominski fut décoré du "Purple Heart"à titre posthume. D’abord inhumé au cimetière de la Pierre Levée à Poitiers, son corps fut transféré et inhumé au cimetière américain de Draguignan, Parcelle C - Rangée 12 - Tombe no. 6. Son nom figure sur le mémorial de Négret (commune de Saint Claud, Charente) et il est également inscrit sur le monument aux morts en hommage aux victimes des événements du 22 mars 1944 à Endourchapt (commune de Saint-Laurent-de-Céris).

Quatre avaiteurs américains dans le maquis Bir Hacheim en Charente (article en anglais) (lien)

8th USAAF - 31st December 1943 : mission no. 171 - South West France  (article en anglais) (lien)

Marcillac (33) - mémorial de Lamourette - (D254 dans le Nord de Marcillac proche de la limite avec la Charente-Maritime) : cérémonie du 31 décembre 1943 - 1Oh3O (lien) - Cérémonie en mémoire de l'équipage du B-24 Devil Dream tombé le 31 décembre 1943 dans la commune de Marcillac (lien)

Royan - Photos de la cérémonie de commémoration du bombardement du 5 janvier 1945

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Des photos réalisées par le photographe de la Ville de Royan lors de la cérémonie de commémoration du bombardement du 5 janvier au cimetière (photo n°2, 3 et 4) et de la pose de la première pierre de l'oeuvre mémorielle (photo n°1).







Royan - Oeuvre Mémorielle pour honorer les morts des bombardements des 5 janvier et 15 avril 1945 (lien)

Photos de la cérémonie de Maxence Simon à St Mary (Charente) le 6 février 2022

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Rédigé par Alan dans la rubrique Maquis Bir Hacheim

Tous nos remerciements à Julien Brulaud, porte drapeau du Souvenir Français du Comité de MONTBRON, pour avoir eu la gentillesse de partager quelques photos de la cérémonie de Maxence Simon le premier tué de Bir'Hackeim sur la route de Chasseneuil à St Mary.

La cérémonie c'est déroulé le 6 Février 2O22 à 11hOO. Tout les ans en ce 6 Février nous avons une pensée pour lui ne pas oublier tel est la devise du devoir de mémoire.


Photo du page Facebook - Amicale pour la mémoire du maquis Bir-Hacheim



Photo prise par Angelique Precigout photographe du Souvenir Français du Comité de MONTBRON.


Maxence Simon

Né le 19 septembre 1921 aux Pins (Charente), mort en action le 6 février 1944 à Saint-Mary (Charente) résistant au maquis Bir'Hacheim.
Maxence SIMON réfractaire au STO, entra dans la clandestinité le 14 décembre 1943 et rejoignit le maquis dans le courant du mois de janvier 1944 . Ce maquis organisé par André CHABANNE et appartenant à l’Armée secrète (AS) reçut le 5 février 1944 la visite du Délégué Militaire Régional Claude BONNIER qui lui donna ce jour-là le nom de Bir'Hacheim.


Février 1944 : Combat de Saint-Mary (lien)

Page Facebook - Amicale pour la mémoire du maquis Bir-Hacheim (lien)

René Chabasse 1921-1944 Héros de la Résistance

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 Rédigé par Alan dans la rubrique Section Spéciale de Sabotage


René Chabasse 1921-1944
Héros de la Résistance
BCRA Réseau SOL - BOA Région B

Homme de coeur, homme d'honneur, homme de conviction, d'action, et de courage. Abattu à Angoulême le 21 février 1944 à l'âge de 23 ans.

Chaque 21 février à 17 heures à l'angle du boulevard René Chabasse et la rue de Périgueux, le lieux de cet événement tragique, il y a une cérémonie en sa mémoire. 

René Chabasse né en 1921 en Dordogne est élevé à Bouëx (Charente) où sa mère est institutrice ; son père retraité de la gendarmerie s'occupe d'une petite propriété agricole. René passe ses baccalauréats au lycée d'Angoulême. Il se destine au professorat d'éducation physique. En 194O il est moniteur.

Bouëx se trouve à proximité de la ligne de démarcation. D'emblée René Chabasse n'a accepté de se soumettre. Il franchit clandestinement cette ligne. Il connait très bien le terrain. Il repère les heures et les itinéraires des patrouilles. Il tente divers points de passage. Il devient vite un véritable spécialiste.

Fin juillet il fait passer son ami de lycée Jean Lapeyre-Mensignac. Leurs liens d'amitié lycéenne prennent une autre dimension. Ils se promettent de lutter ensemble jusqu'au jour de la victoire.

Novembre 194O Jean Lapeyre-Mensignac rencontre un ami de vacances d'avant guerre, un peu plus âgé qui lui, Guy Chaumet, qui est déjà en contact avec Londres (Réseau Copernic) et lui présente Théo Burlot (Réseau F2). Sans retard Jean Lapeyre-Mensignac et René Chabasse se mettent à leur disposition : ils seront « passeurs » et agents de renseignement surtout sur Bordeaux où Jean Lapeyre-Mensignac a commencé ses études de médicine.

Les passages, les renseignements marchent bien. Chabasse est vite « plein temps », son activité est intense, il étend ses recherches sur la Bretagne et la Normandie. Automne 1942, Jean Lapeyre-Mensignac a eu un contact avec le « Réseau Action Sol », basé à Saint-Etienne, chef Eugène Bornier alias « Sol » BCRA. Malgré sa réussite remarquable dans le renseignement, René Chabasse s'engage dans « l'Action » aux côtés de son ami qui va vite devenir l'adjoint de « Sol ».

Action de « Sol » :
Organisation d'atterrissages et parachutages, formation de petits groupes armés.

Jean Lapeyre-Mensignac soutenu par René Chabasse propose à « Sol » une extension de son réseau en Aquitaine. Accord de « Sol » et du BCRA. Ce sera la mise en place de ce qui va devenir le BOA Région B.

Chabasse avec Charles Franc (un autre ami du lycée) sera responsable BOA pour la Charente et la Charente-Maritime. Sous leur impulsion, l'implantation du BOA en Charente va être rapide et d'une grande efficacité.

Chabasse parcourt des centaines de kilomètres à bicyclette pour repérer des terrains que la RAF (Royal Air Force) pourra trouver aptes à recevoir des atterrissages. Ainsi le terrain « Serin » près d'Ambérac, « Albatros » près d'Angeac. Les terrains pour parachutages demandent moins d'exigences techniques  - citons « Chouette »« Pintade »« Pélican »...

L'équipe de réception pour atterrissages a son centre opérationnel chez Franc à Malaville. Formée autour de Lapeyre-Mensignac avec Chabasse, Franc, Barrère, Margariti, Boireau. Chabasse a repéré les moindres buissons, les plus petits sentiers autour des terrains.

Le 23 avril 1943 : 1er atterrissage double Lysander sur « Serin ». 18 Septembre 1943 : 2ème double Lysander sur « Serin » (arrivée de Pierre Brossolette). 14 novembre 1943 : double Lysander sur « Albatros » : arrivée du Colonel Bonnier « Hypoténuse » DMR Région B et du Capitaine Nancy « Sape » chef saboteur Région B.

Pendant ce même temps il a fallu aussi recruter et former des équipes pour les parachutages. Chabasse décide de fixer le centre opérationnel dans la ferme des Duruisseau« aux Forêts » près de Bouëx. Ils ont déjà été ses agents de renseignement. La jeune Andrée fait des liaisons. Le fils Edmond sera chef d'équipe de parachutages. Il forme des équipiers, les fait agréer par Chabasse, qui recrute deux autres chefs d'équipe : Guy Berger et René Rispard. Il met en place des « boîtes à lettres" et divers points de contact pour transport. Il lui manque une chose : un lieu de repos personnel. Trop occupé, il mange et dort chez les agents qui pour la plupart ne connaissent pas son identité. Il est SDF !

Fin 1943, début 1944, avec l'arrivée du DMR les parachutages du BOA Charente deviennent nombreux. La nuit du 6/7 février ses équipes assurent simultanément deux opérations sur deux terrains différents (près de Birac, près de Touzac). Outre ses fonctions BOA, Chabasse assure quelques missions discrètes de renseignement, en Charente, pour le DMR. 



Le 21 février 1944 il vient prendre des dispositions avec Jacques Nancy à la maison Duruisseau. Andrée lui sert un rapide repas. Malgré les risques qui se précisent, il part pour Angoulême apporter un message au domicile de la famille Berger, boulevard d'Orfond. La « boite à lettres » est grillée. La gestapo l'attend. Arrêté par plusieurs gestapistes il a une réaction aussi rapide que violente et se défait d'eux à coups de poing. Il s'échappe. Il est repris. Il tente une deuxième évasion, fait quelques dizaines de mètres lorsqu'il est touché par les balles ennemies. Il s'effondré allongé sur le trottoir. Il ne peut plus fuir. Un officier ennemi arrive, se penche sur lui. René se redresse un peu et le saisit à la gorge. Devant le ridicule de se voir tenir tête par un mourant. l'Allemand l'achève d'une balle en pleine tête.

René Chabasse avait toujours dit à ses compagnons proches : « Ne vous inquiétez pas, si je suis arrêté, je m'arrangerai toujours pour qu'ils ne me prennent pas vivent ! ».

Tel fut le parcours de charentais René Chabasse dans la Résistance, mort pour la France à l'âge de 23 ans.


Planche de l'ouvrage Les Années Noires - Angoulême 194O - 1945
Tiré du chapitre Un Homme Libre 
scénario : Eric Wantiez     dessin : Julien Maffre


Les derniers mots écrits par René Chabasse

Tracées sur des feuilles « papier écolier », la maman de René Chabasse a pieusement conservé les dernières lignes écrites par son fils en septembre 1942.

Cette lettre est écrite à la plume, de la petite écriture caractéristique de René. Elle comporte plusieurs ratures, quelques mots  rayés, l'ensemble prouvant que ce texte a été tracé d'un seul jet venant droit du coeur.

En voici les principaux extraits :

... « Il pleure dans mon coeur » a dit Verlaine...
Tandis que le mien rit.
Il me plaît de t'écrire pour te faire part de cette heureuse métamorphose qui a lieu en moi, près de moi, autour de moi.

Dans ces longues heures où je suis seul, plus seul parce que j'attends, mon imagination, cette folle du logis s'en donne à coeur joie, non seulement elle, mais toutes mes pensées, magnifiquement belles quand c'est vers l'horizon qu'elles voient tout bleu de l'avenir qu'elles s'envolent, tristes et sombres quand elles voient dans le passé les voiles noirs du deuil et dans le présent tant de pleurs et de sang mêlés.

Je me sens balloté dans cet immense tempête, assourdi par un tonnerre de plaintes et de feu, aveuglé par tant de mal, et tant de mauvaises poussières, par cette houle que j'ai voulu connaître. Rude épreuve pour moi, petit mousse cramponné au timon, redressant sans cesse un gouvernail qui voudrait emmener mon bateau à la dérive, tout trempé de la bave des lâches et d'une écume sale...

Pourtant je suis là et ceci m'étonne...

Toujours le même ? non ! j'ai changé un peu : plus sérieux, plus réfléchi - c'est l'âge - quelques gaffes me rappellent que j'ai été gosse et que je le suis encore un peu. Un enthousiasme fou que je ne cherche pas à calmer, bien au contraire, tant il est pour moi une source de beaux rêves de pensées idéales, de Paix total, un élan que je ne freine pas non plus et qui me rend si leste par-dessus tous les obstacles qui se dressent sur mon chemin...

Un coeur qui rit, un bon coeur qui rit de joie et d'espérance et par-dessus tout cela et qui en est peut-être la cause un amour irrésistible de tout ce qui est beau, vrai et harmonie...

« Heureux celui qui possède un idéal » a dit Pasteur.

Celui de Patrie fait de moi un homme bien plus droit et plus heureux. Un jour viendra je le sais, où celui qui triomphera. Je n'ai que faire du triomphe, c'est cette harmonie que je veux vivre, mais pour la vivre parfaitement, il faut la Paix.

Puisse le Tout-Puissant exaucer une des innombrables prières qui lui sont adressées par tant de gens qui souffrent. On verra alors prochaine la fin de tant de maux.

... Il y a un coup de collier à donner ces mois prochains. Je suis prêt à le donner. Bonne forme physique et meilleure forme morale.

Tu n'auras plus guère de nouvelles de moi.

« Prenons patience » dit la chanson. Quant à moi je ne sais où elle se prend mais peu importe : un jour viendra...

Source : Notre participation pour une juste mémoire de la Résistance en Charente 194O - 1944. Documentation, récits et références de Jean Lapeyre-Mensignac, Andrée Duruisseau (Epouse Gros), Edmond Duruisseau, Pierre Barrère, Guy Margareti, Charles Franc et Jacques Nancy.


Citation à l'ordre de la Nation

Le Gouvernement cite à l'ordre de la Nation :
M Chabasse (René), à Bouëx (Charente), pour les motifs suivants : ardent patriote, animé du plus pur esprit de la Résistance qui mené la lutte contre l'ennemi dès les premières semaines de l'occupation avec un cran admirable. Traqué par la Gestapo, a été assassiné au cours de son arrestation. Est mort en héros.

      Fait à Paris, le 12 avril 1946.

      Par le Président du Gouvernement provisoire de la République.



Le Mémorial de la Résistance à Chasseneuil-sur-Bonnieure. De face, l'entrée qui permet à accèder à l'intérieur du monument d'ou un escalier descend à la crypte dans laquelle reposent, côte à côte, les cercueils contentant les restes de René Chabasse et son frère cadet Pierre Chabasse. Il participera aux combats de la libération jusque devant la « poche de résistance allemande de Royan ». Le samedi 14 avril 1945, les armes à la main, en plein combat, face à l'ennemi, Pierre Chabasse est tué par une balle reçue en plein front.

Dans cette même crypte se trouvent aussi les restes du colonel Claude Bonnier « Hypoténuse » qui fut le délégué militaire régional de la région B, ceux de Jacques Nancy « Sape », son adjoint et chef de la Section Spéciale de Sabotage, ceux du colonel André Chabanne, chef du maquis Bir'Hacheim. Tous ont bien connu les frères Chabasse qui ont effectué diverses missions à leurs côtés.

Ci-dessous, un petit extrait du livre de 1947 par Marc Leproux Nous,les Terroristes - Journal de la Section Spéciale de Sabotage :

1 septembre 1944 - jour après la prise d'Angoulême

Pendant ce temps tout le groupe a été réuni boulevard d'Orfont (boulevard René Chabasse depuis 26 avril 1945) à l'endroit où René Chabasse a été tué, pour observer une minute de silence et déposer une gerbe de fleurs. Pierrot (le frère de René) a laissé déborder son chagrin et c'est très triste de voir sa douleur. Nous sommes très émus et notre émotion gagne l'attroupement des gens du quartier qui suivent la cérémonie.

Dès le lendemain les S.S.S. reprenaient le chemin de Puycharnaud laissant Angoulême libéré, à la garde des anciens et nouveaux F.F.I. des autres groupes.



René Chabasse - Héros de la Résistance
abattu à Angoulême, le 23 février 1944 à l'âge de 23 ans

Par Jean Lapeyre-Mensignac
avec Pierre Barrère, Charles Franc,
Guy Margariti et Andrée Gros-Duruisseau

Anciens chargés de mission du Bureau Central du Renseignement et de l'Action (BCRA) du général du Gaulle

Publié en 1996 par Pilote 24 édition
Version ebook (lien)

A lire également :

Monument aux morts de Bouëx (lien)
Monument de la Section Spéciale de Sabotage au Chêne Vert commune de Grassac (lien)
Andrée Gros-Duruisseau - résistante et déportée : Témoignage (lien)

Les Années Noires : Angoulême 194O-1944 - un album de bande dessinées par Le Troisième Homme (lien) 

2022 - René Chabasse - photos de la cérémonie du 21 février 1944

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Angoulême le 21 février 2O22
78e anniversaire de la mort de René Chabasse

La ville rend hommage

Nous sommes très reconnaissant à Julien Brulaud qui a eu la gentillesse de partager quelques photos de la commémoration en mémoire de René Chabasse, héros de la Résistance, abattu par les Allemands le 21 février 1944 à l'angle de la rue Périgueux et du boulevard qui porte aujourd'hui son nom.







Commémorations de la libération de Royan le 17 avril

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LIBÉRATION DE ROYAN 

DIMANCHE 17 AVRIL 2O22

DÉROULEMENT

1O H 3O : Rassemblement à la stèle de la 2ème D.B. (Square du 8 mai 1945)

11 H OO : Rassemblement à la stèle de la Brigade RAC

(square brigade RAC)

11 H 3O : Rassemblement au Monument aux Morts (Place Foch)

12 H OO : Vin d'honneur aux abords de la Place Foch



Stèle de la Brigade RAC
square Brigade RAC
Royan

Cérémonie commémorative à Brie - Commune de Médis - vendredi 15 avril 2022

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Vendredi 15 AVRIL 2O22

Cérémonie Commémorative à Brie, Médis (17)
77ème Anniversaire de la Libération de la Poche de Royan

11h : Cérémonie et dépôt de gerbes à la stèle de "Brie"à Médis.


Film - Les Saboteurs de l'Ombre et de la Lumière - Jeudi 28 avril - Soirée spéciale au Cinéma Jean Eustache - Pessac (Gironde)

Photos de la cérémonie commémorative à Brie, Medis le 15 avril 2022

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Quelques photos de la cérémonie commémorative à Brie, Medis le 15 avril 2O22.

Photos réalisées par le photographe de la mairie.






Photos de la cérémonie commémorative à Brie, Medis le 15 avril 2O22

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Quelques photos de la cérémonie commémorative à Brie, Medis le 15 avril 2O22.

Photos réalisées par Chantal Rougier.









Royan - 77émé anniversaire de la Victoire du 8 mai 1945

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Dimanche 8 mai 2O22

1O h 3O : Immersion d'une gerbe en mer baie de Foncillon - rassemblement promenoir de la Façade de Foncillon

1O H 5O : Dépôt de gerbes à la stèle Rhin et Danube (square du 8 mai 1945)

11 H 15 : Dépôt de gerbes au Monument aux Morts (place FOCH)

Un vin d'honneur sera servi aux abords de la place FOCH.

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